Fin de période sous l'équateur, comme souvent en juin, un gros coup de bourre ne me laisse que peu de loisirs plastiques mais j'ai quand même quelques images à proposer.
Les étudiants, comme presque partout en juin, tentent de restituer leurs acquis de l'année pendant que leurs enseignants entament, entre deux corrections, la valse des départs et de leurs épotnymes.
[épotnyme : contraction syllabonimique de pots et d'éponyme (!)] fallait il le préciser ?
Pendant ce temps, les ambassades bilanisent l'année écoulé, avant les estivaux congés, dans des discours que l'on peut qualifier de .....diplomatiques,
devant une assemblée de ......Diplomates,
- le monde est quand même bien fait-
Ces même diplomates venus, pour la plupart, se rassasier de spécialités en lien avec la contrée plus ou moins reculé de la dite ambassade.
L'ensemble ressemblant à s'y méprendre à un vernissage où la plupart des convives consacrent l'essentiel de leur attention plus à la table des cocktails et petits fours qu'aux œuvres exposés, sauf qu'ici les œuvres ......
Bref, un bon gros moment de solitude.Les belles limousines noires, des jolis costumes et les souliers fraichement cirés associés, le sourire et les talons de Madâme parachèvent le tableau.
Le monde des Ferrero rochers me fait assez peu rêver, mis à part le buffet et les talons !
Heureusement une petite escapade de trois jours dans l'intérieur, humer encore une fois la forêt de en dedans, s'en imprégner un peu pour clôturer la saison et avant d'entamer le summer tour dans le pays des blancs.