Tout droit venu de la feu URSS (CCCP) , Garry Zooh est un artiste venu se perdre sous l'équateur une dizaine de jours, invité qu'il était par l'ambassade de Russie.
Le merveilleux monde de la diplomatie œuvrant pour son aura dans le pays hôte, propose par divers et tentaculaires réseaux, une intervention auprès des élèves de non moins divers établissements de la place.
De la messe (en latin) pour riches colons où un maximum de 15 ultras privilégiés assistent à la cérémonie, à celle des matitis ou mapane (le joli nom de bidonville) où chaque classe est l'équivalent, en nombre, du gouvernement français au grand complet, secrétaires d'états et chauffeurs compris et j'exagère à peine.
Garry propose d'œuvrer devant ces publics aussi divers que varié (et inversement).
Nous n'avons pas tous les mêmes soucis.
Simple et efficace malgré la barrière de la langue, les mêmes enfants devant l'activité.
Des couleurs, beaucoup de couleurs, un dessin épuré, un rythme soutenu, tous comprennent, tous s'amusent et tous font.
Le (les) résultat(s) est (sont) assez remarquable (s), le dit résultat opérant sur le support et sur les enfants.
Encore une belle étoile filante de novembre, illuminant encore aujourd'hui, en décembre.
Un vernissage dans le magnifique bâtiment de l'ambassade de la fédération de Russie cloturera l'équatotour 2014 de Garry.
Sinon, je n'ai définitivement pas progressé en Russe !
Merci Monsieur Zooh,
Spasiba
Garry and I |
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