Après six mois d'inclusion Sénégalaise à arpenter Dakar dans presque tous les sens, nous sortons enfin de la bouillonnante capitale pour nous rendre à quelques soixante kilomètres au sud.
Toubab Dialaw, un village en bord d'océan sur une côte toute en plage et falaises à l'apparence d'une sénégalaise tranquillité qui héberge, entre autre, la célèbre "école des sables" de la danseuse chorégraphe Germaine Acogny, figure de la danse africaine et bien plus encore. Entre autre parce que aussi connu pour les multiples activités culturelles de l’hôtel/auberge/centre artistique Sobo Badé qui attire et accueille artistes en résidence, pseudos artistes et autres touristes cherchant à dorer le blason d'un séjour jusque là merveilleusement fadasse d'un metissage resto/plage pour retraités, surement reposant au demeurant.
Dans un cadre d'un apaisant mescladis associant les architectures de Gaudi et une touche Dalièsque, ce qu'il faut de verdure et de délabrure pour s'y sentir bien. Sous des latitudes plus toubabesques on pourrait parler de boboïsme, cuisine bio et artisanat de rigueur. Dominant la plage, perché sur la falaise, le site offre en outre un panorama cartepostalique sur l'océan et la partie de la côte jusqu'à la grande ville. Le couple de tenanciers franco-haïtiens résident sur place participent aussi à la douce atmosphère que dégage le lieux.
Une bulle dans le désolant marasme de période pré électorale en toubabie.
Après un premier acte aux younaïteudstaytes, tout ce que la démocratie a de plus médiocre et improductif alimente le touspouritisme.
Le peuple ne se déplace plus voter ?
Il ne reste guère que notre élite (ça fait mal de les nommer ainsi) pour s'en étonner. Trop occupés qu'ils sont à préserver leurs privilèges de monarques, se coupant chaque jour davantage des réalités quotidiennes de leurs vils sujets.
Et sinon, une expo collective organisé par le Dakar Women's Group m'a fait l'honneur de m'inviter pour leur trentième anniversaire. C'est à Dakar, Place du Souvenir Africain du 31 mars au 3 avril.
La vue côté sud et le petit "Gora Ciss" qui a voulu que je le dessine. |
Toubab Dialaw, un village en bord d'océan sur une côte toute en plage et falaises à l'apparence d'une sénégalaise tranquillité qui héberge, entre autre, la célèbre "école des sables" de la danseuse chorégraphe Germaine Acogny, figure de la danse africaine et bien plus encore. Entre autre parce que aussi connu pour les multiples activités culturelles de l’hôtel/auberge/centre artistique Sobo Badé qui attire et accueille artistes en résidence, pseudos artistes et autres touristes cherchant à dorer le blason d'un séjour jusque là merveilleusement fadasse d'un metissage resto/plage pour retraités, surement reposant au demeurant.
La vue côté nord |
Dans un cadre d'un apaisant mescladis associant les architectures de Gaudi et une touche Dalièsque, ce qu'il faut de verdure et de délabrure pour s'y sentir bien. Sous des latitudes plus toubabesques on pourrait parler de boboïsme, cuisine bio et artisanat de rigueur. Dominant la plage, perché sur la falaise, le site offre en outre un panorama cartepostalique sur l'océan et la partie de la côte jusqu'à la grande ville. Le couple de tenanciers franco-haïtiens résident sur place participent aussi à la douce atmosphère que dégage le lieux.
Une bulle dans le désolant marasme de période pré électorale en toubabie.
Après un premier acte aux younaïteudstaytes, tout ce que la démocratie a de plus médiocre et improductif alimente le touspouritisme.
Le peuple ne se déplace plus voter ?
Il ne reste guère que notre élite (ça fait mal de les nommer ainsi) pour s'en étonner. Trop occupés qu'ils sont à préserver leurs privilèges de monarques, se coupant chaque jour davantage des réalités quotidiennes de leurs vils sujets.
Et sinon, une expo collective organisé par le Dakar Women's Group m'a fait l'honneur de m'inviter pour leur trentième anniversaire. C'est à Dakar, Place du Souvenir Africain du 31 mars au 3 avril.
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